S'abonner Se connecter
Outside
Outside : aventure training voyage culture
  • Aventure
  • Santé
  • Voyage
  • Société
  • Équipement
  • Films
  • Podcasts
  • Aventure
  • Alpinisme & Escalade
Alpinisme

Portrait d’un guide aimé de tous : Thomas Vialletet, emporté avec son client sur le Mt Cook

Mount Aoraki Thomas Vialletet

La rédaction La rédaction

  • 2 décembre 2025
  • 6 minutes

Quelques semaines avant sa mort sur le plus haut et le plus dangereux sommet de Nouvelle-Zélande, survenue le 25 novembre, le guide haut-alpin Thomas Vialletet se réjouissait d’avoir réalisé l’arête Est. Des Ecrins à La Grave, puis de Chamonix aux Southern Alps néo-zélandaises, cet ancien membre de l’ENAM avait fait de la transmission sa ligne de vie. Retour sur le parcours d’un professionnel aussi estimé pour son expertise que pour son extrême gentillesse.

« Merci pour tous ces bons moments passés avec toi du côté de La Grave ou comme ici au Ben Nevis. J’aurais tellement aimé découvrir la Nouvelle-Zélande à tes côtés. Une belle pensée à ta famille. » Sur Instagram, le photographe de montagne Marc Daviet résume en quelques mots ce que beaucoup ressentent depuis la mort de Thomas Vialletet, guide IFMGA, décédé le 25 novembre, sur l’Aoraki, sommet aussi connu sous le nom de Mt Cook. Depuis une dizaine d’années, ce natif de Serres, dans les Hautes-Alpes, était installé à Wānaka, en Nouvelle-Zélande. C’est là qu’il est tombé jeudi dernier avec son client et ami américain, l’avocat et alpiniste accompli Kellam Conover, sur la montagne la plus haute et la plus meurtrière du pays. Il laisse derrière lui sa compagne néo-zélandaise, Danielle, et leurs deux jeunes enfants, Layla et Ethan.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Thomas Vialletet (@tomvialletet)

Une nuit calme sur la montagne la plus dangereuse de Nouvelle-Zélande

Ce 25 novembre, Thomas Vialletet et Kellam Conover font partie d’une cordée de quatre : deux guides, deux clients, engagés dans une grande traversée de l’Aoraki/Mt Cook. Partis de l’Empress Hut, au-dessus du Hooker Glacier, le groupe progresse de nuit, encordé par paires, vers l’arête sommitale ouest. Une pratique classique sur cette montagne : partir tard pour bénéficier d’une neige ferme, en acceptant une visibilité réduite et des journées qui peuvent durer de 13 à plus de 20 heures, comme l’explique la présidente de la New Zealand Mountain Guides Association (NZMGA), Anna Keeling, dans la presse locale.

Vers 23 h 50, alors que la cordée de Thomas et de Kellam progresse en tête sur la crête, le duo bascule côté ouest. Selon le récit de Climbing (groupe Outside US), qui se fonde sur le NZ Mountain Safety Council, les deux autres alpinistes, restés en aval, ne sont pas entraînés et donneront l’alerte. Les secours héliportés localisent rapidement les survivants, guidés par leurs lampes frontales, et les évacuent indemnes vers 2 h 15 du matin. Les corps de Thomas Vialletet et de son client sont retrouvés et récupérés en fin de matinée. 

Les conditions ce soir-là sont décrites comme calmes et claires par les secours. L’enquête devra préciser les circonstances exactes de l’accident, mais, d’après le guide et Piolet d’Or Frédéric Degoulet du « Gang des moustaches », interviewé par Midi Libre, « la chute de l’alpiniste a été causée par un dévissage de son client : “L’autre cordée a vu ce qui s’est passé. C’est ce qui m’est revenu.” » Une hypothèse qui reste à confirmer.

De son côté, Climbing rappelle qu’en terrain d’arête, les accidents de ce type surviennent souvent lorsque les membres d’une cordée progressent en corde tendue, ce qui ne pardonne pas si l’un des deux glisse et que l’autre n’a pas la marge pour enrayer la chute.

L’Aoraki/Mt Cook, 3 724 m, cumule tous les facteurs de risque : sommet fortement glaciaire, isolé, exposé aux dépressions venues de la mer de Tasman, terrain mêlant glace, neige dure et rocher de qualité médiocre (greywacke) sujet aux éboulements. Selon les chiffres cités par Climbing et New Zealand Geographic, près de 80 alpinistes y avaient déjà trouvé la mort en 2016, et le bilan se rapprocherait désormais de la centaine, avec au moins un décès presque chaque année.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Thomas Vialletet (@tomvialletet)

Un professionnel « prudent et consciencieux »

Dans les heures qui suivent l’accident, la NZMGA confirme que le guide décédé est bien Thomas Vialletet, membre de son comité exécutif. Sa présidente, Anna Keeling, le décrit comme prudent et consciencieux, avec une grande expérience de l’Aoraki.

Le site de la NZMGA rappelle que la qualification IFMGA représente le plus haut niveau de certification international pour un guide. Dans ce petit milieu néo-zélandais, Thomas s’était imposé en quelques années comme l’un des piliers : un guide très technique, engagé dans les discussions sur la formation et la certification, mais aussi un collègue disponible, toujours prêt à passer une heure au téléphone pour réfléchir à l’amélioration des cursus, comme le raconte sa consœur Petrouchka Steiner-Grierson.

Un enfant des Hautes-Alpes

Avant de devenir ce guide respecté à l’autre bout du monde, membre de l’Équipe nationale d’alpinisme de 2009 à 2012, Thomas Vialletet est d’abord un gamin des Hautes-Alpes. Dans une biographie publiée par le Skiers Lodge de La Grave, où il officiera comme guide pendant des années, Thomas raconte que comment la montagne a très tôt été son terrain de jeu. C’est d’abord l’escalade et le ski freeride, qui l’amènent à explorer les Hautes-Alpes. Puis il enchaîne avec l’escalade sportive et trad jusqu’au 8a+, glace jusqu’au WI6+, courses d’alpinisme de difficulté ED+, premières en mixte dans les Écrins, l’Ubaye, en Alaska ou en Chine, et descentes à ski de pente raide dans les Alpes comme en Nouvelle-Zélande. En parallèle, il poursuit des études en gestion du sport et en photographie. Plusieurs grandes marques de l’outdoor l’associeront à des projets photo, notamment Petzl, lors d’un expédition d’escalade en Islande aux côtés de Raphaël Fourau, Florence Pinet ou Gérôme Pouvreau.

La Grave, son camp de base

Thomas se sent « chez lui » dans les Écrins. C’est à La Grave qu’il se forge une bonne part de sa réputation de skieur et de guide. Pendant près d’une décennie, il y guide chaque hiver, au plus près d’un terrain parmi les plus exigeants d’Europe. Le Skiers Lodge le présente comme l’un de ses guides principaux, impliqué dans l’organisation et la logistique, capable d’emmener ses clients sur des descentes mythiques tout en gardant cette exigence de sécurité qui le caractérise.

En chemin, il va croiser notamment Mathieu Maynadier, ou encore Frédéric Degoulet qui explique dans son hommage que Thomas était « une pointure », à la fois grand alpiniste et « grand campeur », capable de passer des journées entières avec ses clients en haute montagne sans jamais perdre sa bonne humeur.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Thomas Vialletet (@tomvialletet)

Sa saison en Nouvelle-Zélande avait pourtant bien commencé

Au fil de ses voyages, Thomas découvre la Nouvelle-Zélande. D’abord le temps d’une année. Mais très vite il tombe amoureux de la « wilderness » du pays et il s’y installe, comme il l’explique sur le site de Summit Explorers, la petite agence familiale qu’il crée ensuite avec Danielle, sa compagne kiwi, à Wānaka.

Là, le couple propose une large palette d’activités : courses d’alpinisme, ascensions de sommets, ski de randonnée, ski-alpinisme, ski raide, escalade en grande voie, glace et mixte dans tout l’arc des Southern Alps. Leur promesse : des séjours sur mesure, une relation guide-client forte, et une grande attention à la sécurité et à la progression technique des participants, sur des voies normales autant que sur des objectifs plus ambitieux. Parmi eux, l’Aoraki/Mt Cook via la voie du Linda Glacier, 1 700 m de dénivelé depuis Plateau Hut. Cotée NZ 3, équivalent du D européen, elle est décrite comme une ascension « avancée » réservée aux alpinistes aguerris. C’est cette course qui sera fatale à Thomas et son client, Kellam Conover, devenu un ami au fil des courses.

Quelques semaines avant l’accident, Thomas poste sur son compte Instagram un long texte enthousiaste à propos de l’ascension guidée de l’East Ridge de l’Aoraki, une arête peu fréquentée et rarement parcourue.
« Quel début de saison d’alpinisme en Nouvelle-Zélande ! Tout juste de retour après avoir fait avec un client l’East Ridge de l’Aoraki/Mount Cook… une ascension en un seul push de 25 heures depuis le Plateau Hut ! (…) C’est comme un rêve professionnel devenu réalité pour moi…

Un guide demandé pour son sérieux… et pour sa douceur

Sur le site de Summit Explorers, les témoignages de clients disent beaucoup de son style. Tammy, habituée de plus de dix ans de trekking et d’alpinisme à l’international, le décrit comme « le meilleur guide » qu’elle ait rencontré, impressionnée par sa capacité à adapter les plans en fonction de la météo tout en gardant des objectifs ambitieux et une vraie valeur ajoutée dans les ascensions. Catarina, autre cliente, insiste sur sa façon de pousser les gens « mentalement et physiquement », tout en expliquant constamment ses choix et en créant un climat de confiance sur la durée d’un séjour d’une semaine.
Dans un hommage publié sur l’Instagram de l’agence après sa mort, son équipe résume : « Thomas a touché d’innombrables vies par sa générosité, sa chaleur et sa force tranquille. (…) Il apportait le meilleur des deux mondes dans son travail de guide : la chaleur et l’humour de ses racines françaises, et le profond respect qu’il avait développé pour la Nouvelle-Zélande. Ses standards élevés, son professionnalisme et son style ont enrichi notre culture de l’alpinisme et marqué sur tous ceux qui ont eu la chance de travailler ou de grimper avec lui. ».

Une famille et une petite agence frappées de plein fouet
Derrière l’émotion, la réalité matérielle est brutale. Comme le rappelle la page Givealittle créée par des proches, Thomas était le principal soutien de sa famille, et la sécurité financière du foyer dépendait directement des revenus de la petite structure qu’il dirigeait avec sa femme Danielle. En quelques jours, la collecte a dépassé les 136 000 dollars néo-zélandais [plus de 67 000 euros], signe de l’ampleur du réseau de clients, amis, collègues et connaissances touchés par sa disparition.
Pour soutenir la famille de Thomas Vialletet, c’est ici.

Un hommage annoncé dans son village de Serres (Hautes-Alpes)
En France, la famille de Thomas a fait savoir par l’intermédiaire de la presse régionale qu’un hommage lui serait rendu en décembre à Serres (Hautes-Alpes), son village d’origine. La date et les modalités n’ont pas été rendues publiques.

Photo d'en-tête : Depositphotos / Thomas Vialletet
Thèmes :
Alpinisme
Drame
Guide de haute montagne
Nouvelle-Zélande

Piolets d’Or 2025 : d’un versant à l’autre, trois grandes traversées primées, les Américains en force

Piolets d'or 2025

La rédaction La rédaction

  • 29 octobre 2025
  • 4 minutes

Parmi les 74 ascensions majeures réalisées en 2024 nominées, le jury vient de trancher : trois réalisations en style alpin, comme le veut la règle, trois leçons d’engagement absolu. Avec deux projets américains et le retour du duo Livingstone–Česen, déjà lauréat en 2019. Chaque automne, les Piolets d’Or distinguent les ascensions jugées les plus significatives de l’année précédente. Pour cette édition 2025, les sept membres du jury ont eu fort à faire pour départager les 74 réalisations sélectionnées. Au final, trois seulement décrochent le précieux trophée. Kaqur Kangri (6 859 m, Népal) :…

Thèmes :
Alpinisme
Piolets d'or
Lire cet article

Népal : pour échapper au couvre-feu, les alpinistes tentent de fuir vers les sommets

Camp de base Népal

La rédaction La rédaction

  • 15 septembre 2025
  • 3 minutes

Suspension de permis d’ascension, permis invalidés ou 8 000 toujours accessibles, situation divergente selon les territoires… Les expéditions en cours au Népal sont confrontées à la grave crise politique qui secoue le pays. Depuis le début du mois, le Népal est traversé par un fort vent contestataire. La répression des manifestations des lundi 8 et mardi 9 septembre 2025 a causé la mort de 72 personnes tandis que l’armée et un couvre-feu ont imposé le calme dans les rues de Katmandou et sur les grands axes du pays. Les touristes…

Thèmes :
Alpinisme
Everest
Népal
Lire cet article

À 86 ans, l’infatigable Carlos Soria retourne dans l’Himalaya pour achever son ascension du Manaslu (8 163 m)

Carlos Soria

Sylvie Sanabria Sylvie Sanabria

  • 11 septembre 2025
  • 5 minutes

Figure de l’Himalaya, l’alpiniste espagnol Carlos Soria s’apprête à défier une nouvelle fois l’Himalaya. A 86 ans. Son objectif : retourner au Manaslu (8 163 m), au Népal, pour célébrer le cinquantenaire de la première ascension espagnole de ce sommet mythique, réalisée en 1975. Expédition à laquelle il avait pris part sans parvenir à atteindre le sommet. Cinquante ans plus tard, Carlos veut refermer ce chapitre inachevé. Mais derrière ce projet, il y a bien plus qu’une simple commémoration : une trajectoire de vie hors normes, un esprit de résistance et une philosophie simple…

Thèmes :
Alpinisme
Himalaya
Manaslu
Lire cet article

States of Elevation : Kilian Jornet a lancé son défi américain sur la mythique « LA Freeway »

Kilian Jornet States of Elevation étape 1

La rédaction La rédaction

  • 5 septembre 2025
  • 4 minutes

Après avoir annoncé début août son projet « States of Elevation » — relier à pied et à vélo l’ensemble des fourteeners des États-Unis continentaux —, Kilian Jornet vient de s’élancer, apprend-on ce vendredi 5 septembre. Sa première étape, bouclée en un peu plus de 21 heures, l’a mené sur la redoutable « LA Freeway », un enchaînement de 24 sommets du Colorado dont le Longs Peak, premier 14er de son périple. Le 6 août dernier, nous annoncions le nouveau grand défi de Kilian Jornet : traverser les 48 États continentaux américains (hors Alaska…

Thèmes :
Alpinisme
Kilian Jornet
Ultra Cyclisme
Ultra Trail
Lire cet article

« States of Elevation » : le nouveau défi de Kilian Jornet pour relier tous les 14ers (sommets de plus de 4267 m) des États-Unis

Kilian Jornet Grand Paradiso

La rédaction La rédaction

  • 6 août 2025
  • 3 minutes

Après ses impressionnants défis dans les Pyrénées et les Alpes, Kilian Jornet met le cap sur l’Ouest Américain et ses fameux 14ers ou « fourteeners » — sommets de plus de 14 000 pieds. Un classique qui devrait l’amener à faire près d’une centaine d’ascensions et à traverser 48 États à pied et à vélo (en dehors d’Hawaï et de l’Alaska). Et ce, en autonomie totale. De quoi parcourir chaque jour l’équivalent d’une étape du Tour de France et d’un marathon — l’altitude et les terrains techniques en plus. Au-delà de la…

Thèmes :
Alpinisme
États-Unis
Kilian Jornet
Ultra Cyclisme
Ultra Trail
Lire cet article

Qu’est-ce que PEAK, le nouveau jeu d’escalade phénomène ?

Peak

Maxime Dewilder Maxime Dewilder

  • 1 juillet 2025
  • 2 minutes

L’ascension du jeu vidéo PEAK est inarrêtable ! Sorti le 16 juin 2025, le titre des studios Aggro Crab et Landfall Interactive cumulait déjà 2 millions de vente après neuf jours sur la plateforme Steam. Un véritable phénomène de mode pour ce jeu d’escalade indépendant et un succès retentissant pour la petite équipe de développeurs, très loin des grosses structures du marché du jeu vidéo. Le trailer de lancement du jeu PEAK Des alpinistes style cartoon s’entraident afin d’atteindre le sommet d’une montagne. Un objectif simple et compréhensible par quiconque a…

Thèmes :
Alpinisme
Escalade
Jeu Vidéo
Montagne
Lire cet article

Balin Miller, une « tête brûlée » en solo sur le Denali

Balin Miller

Maxime Dewilder Maxime Dewilder

  • 23 juin 2025
  • 2 minutes

Piercing dans le nez, tatouage de squelette avec des piolets sur le bras et tignasse blonde, Balin Miller cultive son image d’excentrique de la grimpe. Sur son compte Instagram, l’Américain de 23 ans poste des photos de ses fesses debout dans la neige ou de lui avec des glands dans le nez, le tout entre des photos de cascades de glace et de sommets vertigineux. Derrière le vernis espiègle, celui qui se qualifie, sur la page de présentation de son sponsor Millet, de « bruyant » et « turbulent » mais aussi de « déterminé »,…

Thèmes :
Alpinisme
Aventure
Escalade
Lire cet article

Cory Richards, alpiniste, photographe, bipolaire : « J’ai voulu vivre follement pour échapper à la folie »

Cory Richards

Sylvie Sanabria Sylvie Sanabria

  • 19 juin 2025
  • 7 minutes

Photographe star de National Geographic, alpiniste hors pair – il reste le seul Américain à avoir atteint un sommet de 8 000 mètres en hiver – Cory Richard, beau gosse de 44 ans, a raccroché les piolets il y a quelques années pour prendre la plume. Sa façon à lui de s’apaiser et d’affronter les démons de la bipolarité. Un mal diagnostiqué à l’âge de 14 ans, qui l’a conduit à gravir les plus hautes montagnes, produire les plus belles images et sombrer dans le désespoir le plus profond. «…

Thèmes :
Alpinisme
Livre
Lire cet article

Pas d’ascension de 8000 sans embauche de Sherpa, vient de décider le Népal

Everest ice fall

La rédaction La rédaction

  • 24 janvier 2025
  • 1 minute

Est-ce la fin des ascensions indépendantes sur l’Everest, l’Annapurna ou le Manaslu ? C’est la question que l’on est en droit de se poser depuis que le recours à un Sherpa ou à un membre d’un autre groupe ethnique népalais est rendu obligatoire. Cette nouvelle mesure, approuvée le 8 janvier mais dont tous les détails ne sont pas encore connus, pourrait changer la donne pour bien des alpinistes. A commencer par un Jost Kobusch qu’on a vu tenter cet hiver l’ascension du Toit du monde en solo, et sans oxygène. De…

Thèmes :
Alpinisme
Everest
Himalaya
Népal
Sherpa
Lire cet article

Les 20 athlètes outdoor qui ont marqué l’année 2024

athlètes outdoor 2024

La rédaction La rédaction

  • 31 décembre 2024
  • 9 minutes

« Ne jamais dire jamais », c’est ce que 2024 nous aura appris. Qui aurait parié que Jasmin Paris allait boucler la Barkley Marathons, déjouant tous les pronostics de Lazarus Lake ! Que Kauli Vaas décrocherait l’or aux Jeux ? Que Katie Shide exploserait le record féminin de l’UTMB détenue jusque-là par la reine Courtney ? Que Ludovic Pommeret remporterait la Hardrock 100… avec le record de l’épreuve. Que Benjamin Védrines réussirait le K2 sans oxygène, en 10:59:59 ? Ou que Kilian Jornet bouclerait son incroyable « Alpine Connections » ? Pas grand monde sans doute. Car, là comme…

Thèmes :
Alpinisme
Surf
Trail Running
VTT
Windsurf
Lire cet article

Outside le magazine de l'outdoor

Outside entend ouvrir les pratiques et la culture outdoor au plus grand nombre et inspirer un mode de vie actif et sain. Il s’adresse à tous ceux qui aspirent à prendre un grand bol d’air frais au quotidien et à faire fonctionner leurs muscles comme leurs neurones avec une large couverture de l’actualité outdoor.

Newsletter

L'aventure au coeur de l'actualité. Recevez chaque vendredi sur votre boîte mail - gratuitement et sans pub - les meilleurs articles publiés dans Outside.

Liens

  • A propos d’Outside
  • Abonnements
  • Retour d'aventure
  • Mentions Légales
  • CGV
  • Politique de confidentialité
  • 1% for the Planet
  • Offres d’emploi
© Outside media 2025
Activer les notifications