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Vendée Globe, Damien Seguin

Objectif réussi pour Damien Seguin, grande surprise du Vendée Globe

  • 28 janvier 2021
  • 9 minutes

Marine Saint-Germain

C’est une sixième place, mais elle vaut de l’or, car la participation de Damien Seguin au Vendée Globe 2020 est historique. À 41 ans, il est le premier navigateur handicapé à s’être lancé dans ce tour du monde à la voile, en solitaire, sans escale et sans assistance. Privé de sa main gauche dès la naissance, sa différence ne l’a jamais empêché de pratiquer un sport extrême. Bien au contraire. À son actif, cinq titres de champion du monde et deux médailles d’or aux Jeux Paralympiques. Un palmarès auquel il peut aujourd’hui ajouter un très bon chrono – 80j 21h 58m 20s – qui lui vaut de se classer juste derrière les cinq premiers, à l’issue d’un match serré contre Giancarlo Pedote. Le 8 janvier dernier, nous l’avions interviewé alors qu’il était classé deuxième dans cette course surnommée « l’Everest des mers ». Et en soi, c’était déjà une victoire. C’est son interview que nous republions aujourd’hui intégralement. Vous naviguez sur un voilier à dérive, et comme vous l’avez expliqué dans la presse, ce type d’embarcation est censé être potentiellement moins rapide qu’un foil. Pourtant, vous êtes aujourd’hui en haut du classement. Non seulement vous montrez que votre handicap n’est pas un frein, mais vous semblez en faire une force supplémentaire. C’est vrai qu’avant le départ le bateau à dérive versus le foil, c’était un peu le match perdu d’avance pour les bateaux à dérive. Comme quoi, rien n’est acquis dans le sport. Même quand on a une monture qui est soit-disant moins performante, surtout dans les sports mécaniques, on peut quand même s’en sortir.  Par rapport à mon handicap, c’est un peu la même chose que le match dérive vs foil : à priori, je suis moins performant que quelqu’un qui a ses deux mains. Mais au final, on se rend compte qu’en navigant un peu différemment, en ayant une tactique peut-être plus réfléchie – sans dénigrer les autres – en navigant…

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